Lettres à un gourmet. Par Fingosier. Ouvrage utile à tous les amateurs de bonne chère, et généralement à tous ceux qui désirent des éclaircissements sur l'art et la manière de préparer certains mets savoureux
Paris aux dépens de la Compagnie des graphiques s.d. [1926] in-8 broché, non rogné en queue
2 ff.n.ch., pp. 5-256.Un des 50 exemplaires sur vergé, numérotés à la presse (8/50). Un seul exemplaire au CCF (BnF). Unique édition : le mystère du pseudonyme n'a pas été percé
Livres en bouche Cinq siècles d'art culinaire français
Paris BNF/Hermann 2001 broché couverture illustrée à rabats
Catalogue de l'exposition Livres en bouche présentée du 21 novembre 2001 au 17 février 2002 à la Bibliothèque de l'Arsenal à Paris. Illustrations en noir et en couleurs
Neerlandia. Fabrique de Pains d'Épices. La Reine des Abeilles. L. Versterren-Windelinckx, Malines
S.l. L'Art Graphique du Hainaut s.d. (vers 1930) 35 x 54 cm environ carton fort, oeillets d'accrochage et cordon
Très beau carton publicitaire en couleurs, illustré d'une paysanne en costume hollandais présentant un pain d'épice
Velloni. Prospectus ou aperçu de l'établissement à prix fixe d'un magasin de décorations, plateaux et autres fournitures de table
(Paris) Imprimerie du Postillon (vers 1790) un f. in-8, imprimé recto-verso
Ce prospectus donne une idée générale des plateaux et assiettes garnis que l'on pourra louer dans le nouveau magasin des Velloni, père et fils, place des Victoires
Recettes de poissons. Editées par la "Marée de Dieppe". 2e édition
Dieppe Imprimerie centrale s.d. [vers 1930] in-8 broché sous couverture illustrée
3 ff.n.ch., pp. 7-94.Aucun exemplaire au CCF. Michel Bouzy (1884-1956) était alors chef des cuisines de la maison Prunier. Il était connu pour l’excellence de ses recettes de poissons et crustacés. Fondée en 1872 par Alfred Prunier, la Maison Prunier était à l’origine du premier bar à huîtres et à champagne de Paris, du premier producteur de caviar français en 1921 et de l’une des toutes premières fermes d’élevage d’esturgeons en Dordogne dès 1990
Société des réfectoires. Alimentation populaire
Paris Imprimerie de E. de Soye 1850 in-8 broché sous couverture imprimée
9 pp.Aucun exemplaire de cet opuscule au CCF. Il faut dire qu'il s'agit plus des grandes lignes d'un projet de soupe populaire que d'une association réellement existante à l'époque de l'impression. Le signataire, Ferdinand Chabert, demeurait à Vaugirard."Le projet pour lequel nous réclamons le concours des personnes animées du désir de faire le bien et de le bien faire, a pour but d'ouvrir progressivement, dans divers quartiers de Paris, des réfectoires dans lesquels seront consommés, au prix de quarante centimes, des ordinaires ou repas dont la constitution matérielle et financière est minutieusement détaillée ..." Il ne semble pas que ces belles idées, au demeurant assez vagues, aient reçu un commencement d'exécution
Tarif pour les armées combinées, sous les ordres du maréchal prince de Schwarzenberg, se trouvant en France
Réimprimé à Chambéry s.d. placard in-folio (48 x 35 cm) en feuille
texte sur deux colonnes.Texte qui reprend celui donné à Lörrach le 27 décembre 1813 et fixant les prix d'achat des denrées alimentaires et des fourrages destinés aux armées alliées stationnées dans le département du Mont-Blanc (préfecture : Chambéry) à la suite de l'invasion de 1814.Karl Philipp zu Schwarzenberg (1771-1820) était généralissime des armées alliées en lutte contre la France
Recherches expérimentales sur l'emploi de la gélatine comme substance alimentaire
Paris Imprimerie de Migneret 1833 in-8 broché sous couverture verte imprimée
2 ff.n.ch., 28 pp.Avec Jean-Baptiste-Marie Baudry de Balzac (1796-1848, orthographié Balsac au titre).Le médecin William Frederic Edwards (1777-1842) était un ethnologue français d'origine anglo-jamaïcaine. Pionnier de l'anthropologie, il est considéré comme le père de l'ethnologie en France. Naturalisé français en 1828, il fut élu à l'Académie des sciences morales et politiques et à l'Académie Royale de médecine en 1832
Conserves alimentaires par les procédés Appert. Copie d'une note remise à M. le professeur Payen, membre de l'Institut
S.l. s.d. (vers 1850] in-folio en feuilles
6 pp. n. ch., couvertes d'une écriture fine et modérément lisible (environ 45 lignes par page).C'est sans doute en raison de son appartenance au Conseil d'hygiène et de salubrité publique de Paris que ce mémoire a été remis à Anselme Payen (1795-1871) : en usage depuis une trentaine d'années, le procédé Appert de conditionnement de conserves alimentaires, qui avait révolutionné les habitudes nutritives, notamment dans la marine, présenta dans les années 1847-1850 des incidents de fermentation inhabituels. C'est sur ces défectuosités et leurs origines éventuelles que porte ce rapport
Archives de la maison Boyer, Heyl et Cie (puis Frédéric Heyl et Cie), confiseurs d'olives, capres et truffes noires à Gignac (Hérault). Ensemble de 110 lettres adressées, pour la plupart, à cette maison et une centaine de documents imprimés ou manuscrits, de différents formats, le plus souvent in-4 ou in-8. Gignac, Montagnac (Basses-Alpes), Nant (Aveyron), Nyons (Drôme), Bordeaux, Montpellier, Londres, etc. Nombreux en-têtes imprimés
1860-1924 protégés dans des chemises en carton et rangés dans une boîte de toile marron, plats papier marbré [Rel. mod.]
Importante correspondance commerciale constituée essentiellement de lettres, mais aussi de télégrammes, bons de livraisons, récépissés de transports maritime et comptes divers, en rapport avec les activités de l'entreprise: commerce de truffes (fraîches ou en conserves, confisage d'olives et de capres, fabrication de matières premières pour la parfumerie (essences) et l'industrie chimique (verdets, ou acétates de cuivre et crême de tartre employée dans la préparation de l'acide tartrique). Dans la correspondance, le commerce de truffes est évoqué d'une manière suivie: communication de prix, envois d'échantillons, offres chiffrées accompagnées éventuellement d'expéditions.Installée à Gignac, entre Montpellier et Lodève (département de l'Hérault), la maison Boyer, Heyl et Cie s'approvisionnait auprès de différents fournisseurs situés pour la plupart dans les Basses-Alpes, la Drôme et l'Aveyron. Elle commercialisait des produits en France et en Europe (Grande-Bretagne, Danemark, Allemagne) et possédait même une filiale à Hambourg. Titulaire de plusieurs distinctions obtenues à des concours agricoles ou régionaux, la maison Boyer obtint une médaille d'or à l'Exposition universelle de 1867 à Paris. Peu après, son en-tête commercial portait la mention "Fournisseur de S.M. l'Empereur"