Traité des maladies des femmes Reveu, augmenté d'Annotations, & Traduit en François par I.B[onamour] Docteur de la mesme Faculté
Paris Robert de Ninville 1666 in-8 veau marbré, dos à nerfs finement orné, tranches mouchetées [Rel. de l'époque], petits défauts à la reliure
8 ff.n.ch., 620 pp. et 6 ff.n.ch.Un seul exemplaire au CCF. Édition originale de la traduction française par Jean Bonamour. L'ouvrage avait d'abord été publié en latin, à Lyon en 1619 puis à Montpellier, en 1620. Il est divisé en trois parties : maladies propres aux femmes, stérilité et la grossesse, allaitement...Jean Varandal avait été le premier dans son De morbis et affectibus mulierum à utiliser le terme de "chlorose", "ce que le peuple nomme pasles couleurs... & nous du mot d'Hypp. chlorosis" (p.2).Jean de Varandée (ou Varandal ou Varanda) (Nimes, 1564-1617) avait été nommé doyen de la Faculté de Montpellier. Bien qu'élogieusement considéré par ses contemporains, il ne publia rien de son vivant. Ses traités, devenus rares, furent publiés par ses disciples (cf. Dictionnaire des sciences médicales Panckoucke, 1825, t. 7 p. 398).Ex-libris manuscrit sur la page de titre : Ex pharmacopea Mussipontani Societatis Jesus (Jésuites de Pont-à-Mousson).Bon exemplaire en reliure du temps